Le retour des boutons physiques dans les voitures
- Hakan Doğu

- 1 oct.
- 1 min de lecture

Le chef du design de Volkswagen, Andreas Mint, a fait une déclaration marquante en mars dernier :« Nous ne pouvons plus commettre cette erreur. Ce n’est pas un téléphone, c’est une voiture. »
Il faisait référence au retour des boutons physiques dans les voitures.
J’ai également souvent écrit sur ce sujet. En effet, l’Euro NCAP a annoncé qu’à partir de 2026, les boutons physiques deviendront obligatoires pour les fonctions critiques des véhicules.
Cependant, le débat reste ouvert. Les passionnés de technologie s’opposent vivement à la position de Mint, provoquant un véritable déferlement de critiques sur les réseaux sociaux. De l’autre côté, en dehors des chambres d’écho numériques, une grande majorité de personnes continue de réclamer des boutons physiques.
Je suis moi-même un passionné de technologie. Pas pour des raisons professionnelles, mais parce que je l’apprécie réellement. J’ai toujours placé la technologie au centre de ma vie professionnelle comme personnelle. Mais j’ai toujours gardé à l’esprit une question essentielle :
« Vais-je utiliser la technologie pour en tirer profit, ou vais-je en devenir prisonnier ? »
Parfois, moi aussi, je deviens prisonnier de la technologie. Il est presque impossible de ne pas l’être. Mais ce qui compte, c’est de garder cette question en mémoire et de chercher à maintenir l’équilibre.



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